mardi 22 janvier 2008
samedi 19 janvier 2008
El camino
J'adhère complètement au principe de démarrer l'année par les vacances (ou presque) !
"El camino de la vida eternal" que nous prônaient les deux allumées du Retiro dimanche dernier, je le conçois plus comme un enchaînement de bons moments que comme une réalité en soi n'est-ce pas...
Toujours est-il que nous avons profité comme il se doit, merci Charlie :)
De voir ces petits archis dans leur auberge espagnole prévoir leur avenir proche et leurs voyages immédiats m'a fait baver, royalement.
Je suis dans une motivation et une forme inégalées pour attaquer le 2ème semestre et me dénicher, à nouveau, des stages de puta madre dans les prochains mois.
Surtout, j'ai repris un goût immodéré pour les voyages, les découvertes, les dépaysements, l'ailleurs. La liste est longue, vivement septembre, l'Inde, le Mexique, le Brésil...
Mes prochaines vacances sont dans moins d'un mois (d'aucuns sourieraient sarcastiquement, qu'ils se fassent plaisir !..) - je crois que je n'ai jamais été aussi près de retrouver les palmiers...
Les palpitations de ce début d'année sont délicieuses, oui.
Hasta luego!
Publié par Arthur à 13:59 0 commentaires
jeudi 17 janvier 2008
Les marasmes d'Erasme
Ceci n'est pas mon année de mobilité internationale. Erasmus, connais pas, ai jamais connu - la faute à un stage très bien au demeurant, mais ni en université (forcément), ni en Europe.
Pourtant, cette soirée pleine de mojitos m'a démontré que l'alcool (qui plus est le rhum à la menthe et au citron vert donc) permet de considérables progrès en langues étrangères. L'anglais, ça me connaît, mais mes sept années d'étude de l'espagnol ne m'ont jamais fait bilingue. Soyons rassurés, je reste loin de la bilinguité (ou assimilé) - mais ma langue s'est déliée et le débat architecturalo-politique qui s'en est suivi était des plus plaisants.
Ces rencontres franco-germano-mexicano-espagnoles también.
Je goûte un tout petit peu de ce que je n'ai pas vécu, spectateur du bonheur de ces petits Erasmes architectes.
Qui pourrait décemment déconseiller les mélanges ??
Publié par Arthur à 02:58 0 commentaires
mercredi 16 janvier 2008
Le club de jazz
L'atmosphère feutrée est suspendue aux volutes de fumée que la capitale espagnole autorise encore. Sur scène, un flûtiste, des saxophonistes, un batteur, un contrebassiste, un guitariste, un pianiste. Les accords et le rythme vous enveloppent doucement, sereinement, que vous soyez amoureux enlacés ou amis qui vous détendez. Le jazz vous procure ce bonheur de pouvoir l'écouter, admirer, tout en discutant, rigolant... Que vous soyez à New York, Amsterdam ou Madrid, la torpeur euphorique et mélancolique qui vous saisit n'a simplement pas d'égal. Vous prenez votre verre au bar, et vous vous abandonnez à la musique, et à vos pensées les plus intimes, dans cet écrin délicieux, hors du temps. Vous vous laissez aller, dans le frisson des cordes et l'inspiration des souffles - ces moments privilégiés sont trop rares pour ne pas en profiter. Laissez-vous porter...
A trois heures, lorsque vous rentrez, vous mangez des oeufs au plat. Tout est parfait.
Publié par Arthur à 03:35 0 commentaires
mardi 15 janvier 2008
29.85€
A Madrid, mieux que Guernica au Centro de Arte Reina Sofia, mieux que la gare d'Atocha, mieux que les litres de sangria, mieux que Plaza Mayor, mieux que les buffets à volonté, mieux que le Retiro, mieux qu'un Irish Coffee, mieux que les cañas et les tortillas, mieux que la Via Lactea et la Movida, et mieux que Gran Via, il y a les soldes chez Zara.
Hop, trois tip-top tee-shirts para nada...
Que bueno!
Publié par Arthur à 02:09 1 commentaires
lundi 14 janvier 2008
Madrid Madriz!
Les vacances pour de vrai, enfin !
Tout mettre entre parenthèses, tout relâcher, souffler, décompresser, ne plus penser à rien que dormir, manger, boire, danser, draguer, visiter, se marrer, faire le con, découvrir la capitale espagnole sous toutes ses coutures, avec un guide local du tonnerre, por favor !..
Que guay, comme dirait l'autre.
Encore six journées madrilènes, sans doute de quoi alimenter quelques petits billets ici-bas, aux accents très hispanisants...
Hasta pronto donc !
Publié par Arthur à 02:09 3 commentaires