À quoi tu penses ?
À cette angoissante sensation d'être à contre-courant : ces folles envies de Paris, ce besoin, même - alors que je suis à quelques semaines de New York (mais je ne me plains pas, non non non, je constate.)
À ce lunatisme tout neuf : Lille qui s'éloigne, un coup c'est atroce, l'autre fois j'ai envie d'en finir.
À ces excellents week-ends, à ces agacements du quotidien, à mon indécision permanente, à mes doutes latents.
À l'interprétation que je peux faire de ces comportements, à ce que je ne vis pas alors que je dis et pense le désirer ardemment sans pour autant vraiment me jeter à l'eau.
Je pense à moi, je pense que je suis trop fatigué pour penser davantage et vous emmerder tout autant; je pense à elle, à eux; je pense à lui.
Et je vous souhaite une bien bonne nuit !
1 commentaire:
Et nous, on pense à toi
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