samedi 21 mars 2009

Natalie Dessay in Bellini's La Sonnambula at the NY Met Opera

4h30 de file d'attente pour récupérer des places d'orchestre à 20$ au lieu de 200 et religieusement écouter THE diva. Au Met, tant qu'à faire (où le carrelage des toilettes est identique à celui de la salle de bains chez mes parents, un signe.)
C'était absolument nécessaire, je n'apprécie vraiment l'opéra que depuis trois ans, mais je l'apprécie de plus en plus. Quant à 'elle', rendons à César ce qui lui appartient, M.-L. et J. ont été les précieux bâtisseurs de mon admiration à son égard. Je n'y allais que pour elle en fait. Bellini se limitait jusque-la à Samba de Janeiro dans mon pauvre esprit écervelé. (Mais elle aurait pu chanter ce tube de l'été, je serais resté.)

Elle est incroyable - c'est d'ailleurs J. qui m'a montré la première fois cette vidéo à regarder impérativement jusqu'à la fin. Elle y chante un air de Bernstein au titre éloquent, et elle est incroyable (je l'ai déjà dit peut-être ?) Elle chante et joue a la perfection, une vraie interprète.




Mercredi soir, La sonnambula de Bellini (donc) n'était pas le plus flamboyant du monde, dramatiquement, musicalement ou dans sa mise en scène, mais les airs étaient magnifiques. Juan Diego Flórez chantait à la perfection.
Et Natalie Dessay était incroyable.

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